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  • Une journée pour découvrir et intégrer les bases du lâcher prise selon la méthode de Lester Levenson.

      Le dimanche 11 septembre 2011 à Colombiers (Béziers) de 9h30 à 17h30

     Le dimanche 27 novembre 2011  à Colombiers (Béziers) de 9h30 à 17h30 

     Prix: 110 euros la journée 

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  • Comment libérer de façon pratique : La méthode kinesthésique ou du tuyau.

    Cette façon qui se fait à partir du corps et des sensations corporelles est très efficace parce qu’elle nous ramène à « ici et maintenant ».  Voici les étapes:  

     

    1)  Identifier le problème ou l’émotion

    2)   2) Localiser la sensation ou contracture dans les corps (en générale entre la gorge et le ventre)

    3)   3) Vous pouvez poser la main dessus

    4)   4) Visualiser un tuyau ou une petite porte ou fenêtre qui s’ouvre

    5)   5) Sentez cette énergie qui était bloquée sortir par ce tuyau ou porte, tout doucement. Sentez. Vous pouvez accompagner le mouvement en écartant la main peu à peu. Et encore, et encore un peu plus, et encore….  

     

     


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    Désirer ou vouloir quelque chose équivaut à se dire : « Cela me manque »

     

    Désir = Carence

     

    Vouloir <= est donc le contraire de => Avoir

     

    Voici quelques idées de Lester Levenson par rapport aux désirs :

     

     Le bonheur est notre véritable nature de base. Nous occultons notre nature de base avec des pensées, de pensées de manque et du désir.

     

    Quand nous voulons ou désirons quelque chose, notre mental s’active dans la recherche de l’obtenir.

     

    Et à ce moment là, nous sommes malheureux parce que nous manquons de quelque chose que nous croyons que nous devons avoir. C’est de cette façon que nous créons le malheur à travers notre désir.

     

    Tout malheur ou inconfort commence avec le désir. Tout problème dans l’univers commence avec le désir.

     

    Nous sommes parfaits, complets, intègres, nous n’avons besoin de rien ; nous créons nos besoins de façon artificielle et nous nous rendons malheureux à penser comment les satisfaire »

     

    Quand nous atteignons ce que nous désirions, nous rentrons dans un état d’avoir et pour un moment notre mental s’apaise. Cet apaisement du mental nous donne la joie et cela nous permet de voir qui nous sommes.

    C’est la paix du mental qui nous apporte la joie et non pas l’acquisition de ce que l’on désire…

     


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  • Lester Levenson : « Amour, Don et Lâcher-prise »

     

    Je voudrais vous parler aujourd’hui d’une personne qui n’est pas encore très connue en France mais qui, à mon avis, mérite toute notre attention.

     

    Il s’agit de Lester Levenson. Il est pour moi l’un des plus grands maîtres spirituels du siècle passé, ce qui ne l’empêchait d’être « la simplicité » incarnée. Même si le temps des « maîtres » semble être terminé, ils demeurent des phares qui nous montrent la direction et nous confirment qu’il est possible de retrouver notre véritable identité d’Être libre et illimité.

     

    Lester est né au début du siècle dernier, en 1909. À l’âge de 42 ans, après avoir souffert deux infarctus, les médecins l’ont renvoyé chez lui en lui disant qu’il ne lui restait que trois mois à vivre.

     

    Il s’est donc retrouvé seul dans son appartement en attendant une mort prochaine. C’est à ce moment-là qu’il a commencé une profonde quête en lui-même, à travers laquelle il chercha le sens de sa vie.

     

    Au bout des trois mois, non seulement il l’a trouvé en se libérant de toutes ses limites mais de plus, tous ses problèmes de santé ont complètement disparu.

     

    Il a fait cela tout seul, sans recevoir d’instruction spirituelle spécifique et de façon complètement empirique.

     

    Il s’est rendu compte que la cause de tous ses problèmes n’était personne d’autre que lui-même et sa façon erronée de penser.

     

    La solution était donc de trouver le moyen de se libérer des pensées et des sentiments négatifs.

     

    Il y a trois mots qui me viennent en premier plan pour décrire sa découverte :

    Amour

    Don (Donner au lieu de recevoir ou demander)

    Lâcher-prise.

     

    Je vais vous raconter brièvement son cheminement.

     

    Pendant qu’il était dans son appartement, attendant cette mort annoncée, il s’est posé les questions suivantes :

     

    Qu’est-ce que je fais là sur cette planète ?

    Qu’est-ce que la vie ? Qu’est-ce que je cherche ?

     

    La réponse fut : « Juste un peu de bonheur, c’est tout. »

     

    « D’accord, alors, qu’est-ce que le bonheur ? Comment est-ce que je peux l’obtenir ? Où est-ce que je peux le trouver ?

     

    En regardant dans sa vie passée, il s’est rendu compte que les moments où il avait été heureux avaient tous quelque chose à voir avec l’amour.

     

    Mais en cherchant bien, il ne s’agissait pas des moments où il avait été aimé mais des moments où il avait aimé, où il avait senti de l’amour pour quelqu’un.

    Aimer était donc plus important que d’être aimé ?

     

    A partir de là, il a commencé à développer sa capacité à aimer. Pour cela il a compris que le chemin le plus court était de transformer ses sentiments de « non-amour » en sentiments « d’amour », de façon très concrète, un par un et avec chaque personne.

     

    Chaque fois qu’il rencontrait une personne qui s’opposait à lui de n’importe quelle façon que ce fut, il décida de l’aimer de manière consciente. Et il la remerciait intérieurement de cette opportunité qu’elle lui donnait d’agrandir sa propre capacité à aimer. Parce que c’est en donnant de l’amour qu’on l’expérimente et que l’on est heureux.

     

    C’est ainsi qu’il s’est peu à peu élevé, et plus son amour grandissait, plus il était heureux.

     

    Et c’est à ce moment-là que sa conception du monde s’effondra complètement.

    Il réalisa que le monde était juste la production de son esprit, et que sa façon de penser détermine la matière et tout le reste.

     

    Il comprit que les seules limites étaient dans la pensée et que son « essence », son Soi véritable, n’avait quant à lui pas de limites et était éternel. Il cessa de s’identifier à son corps et à ses pensées.

     

     

    C’est ainsi qu’il s’est senti s’identifié à chaque être humain et à chaque atome de l’Univers, qu’il vu Dieu en tous et en Tout. Puis il s’est retrouvé dans un état de paix et de bonheur sans limite.

    Il compris que lui non plus n’avait pas de limites et qu’il pouvait tout manifester.

     

    « Cela me fit m'identifier à toute chose, chaque personne et même chaque atome dans cet univers.

    Et c'est une expérience si immense, c'est indescriptible.

    D'abord vous voyez cet univers en vous, puis vous voyez l'univers comme étant vous. Puis vous connaissez l'unicité de l'univers. Puis vous en avez fini pour toujours avec la séparation et toute l'infernale méchanceté qui est causée uniquement par la séparation.

    Puis vous ne pouvez plus être mystifié par les limitations apparentes du monde.

    Vous les voyez comme un rêve, comme quelque chose qui n'est qu'apparent, parce que vous savez que votre propre non être n'a pas de limite ! »

    « En contemplant la source d'intelligence et d'énergie, je découvris qu'elle était aussi accessible dans des proportions illimitées, et que cela me venait simplement en étant libéré moi-même de toutes ces formes de compulsions, inhibitions, complications, hésitations.

    Je n'avais pas à être assujetti à quoi que ce soit.

    Considérant cela, le pouvoir libéré qui était juste derrière mon esprit se manifesta comme il ne s'était jamais manifesté avant.

    Je vis qu'avant j'avais réprimé cette énergie, ce pouvoir; et tout ce que j’avais à faire était de regarder se défaire les palissades du barrage et c'est ce que je faisais.

    En découvrant chaque chose, je faisais disparaître une palissade et je lâchais ce flot infini juste comme l'eau d'une digue jaillirait si vous poussiez les barrières une par une. Et plus vous brisez les barrières, plus grand est le flot, donc tout ce que j'avais à faire était de faire disparaître les barrières et de laisser l'énergie et le pouvoir infinis jaillir.

    Et il y avait des fois, quand je me rendais compte de ce que je suis cela me donnait une telle énergie que je bondissais de mon fauteuil.

    J'allais alors droit vers la porte d'entrée et je commençais à marcher, et marcher et marcher, parfois pendant des heures et parfois pendant plusieurs jours de suite ! Je sentais seulement que mon corps ne pouvait pas contenir tant d'énergie, que je devais marcher ou courir pour en laisser s'écouler de moi. ».

     

    Extraits de « l’Histoire de Lester » sur le site de Larry Crane et traduit de l’américain par Marguerite Boisseau de Mesmay

     http://consciencedevie.over-blog.com/article-l-histoire-de-lester-levenson-64790176.html

     

     

    Après cette expérience, il cessa toutes ses activités d’affaires et il partit dans le désert de Sedona (Arizona), où il commença à enseigner la méthode qu’il avait découverte à toutes les personnes qui avaient le même but que lui : « la Liberté Ultime ».

     

    Il a dédié le reste de sa vie, 42 ans, à partager avec les autres cet état d’être en harmonie avec tout dans lequel « vivre » est un bonheur, un bonheur sans limites et dans l’amour de tout ce qui est.

     

    Plusieurs écoles proposent aux USA les enseignements de Lester Levenson, les plus connues sont :

    « La méthode Sedona » qui est enseignée par Hale Dwoskin dont le livre vient de sortir en français[1] et la « méthode Release » qui est enseignée par Larry Crane.


    Marieli 

     

      Article paru dans le Journal A4 en avril 2011



    [1] Hale Dwoskin, La Méthode Sedona - l'art du lâcher-prise, Éditions du Gondor, 16 septembre 2010.

     


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